Les artistes
ALEKSANDR AVAGYAN • AURORE BARON • CYRILLE BELLIER • GILLES BISCAY • STÉPHANE CHABOUREAU • YAUME C • VINCENT CHOVÉ • LAURE COSTEAU • NATHALIE DECOSTER • STERENN DEPRET • VÉRONIQUE DESJONQUÈRES • THIERRY DEVOUASSOUX • SANDRA DICKSON • MICHEL EINSENLOHR • PHILIPPE GAUBERTI • HELENE GIRAUD • GILDAS LE GURUN • CHARLY HO • GORDON HOPKINS • FABRICE HUITOREL • HYUN JOUNG LEE • KIKO • FRANÇOISE LAUTIER • NICOLAS LEFEUVRE • BÉNÉDICTE LEMASNE • ANGÉLIQUE LOMBARD-LATUNE • SIGRID MENAGE • COCO DE MOLLIENS • ISABELLE NOËL • CHANTAL DE PERTHUIS • MAÏLYS PIERARD • BRIGITTE RAILLARD • ANTOINE RAMEAU • ESTELLE REVERCHON • PHIL DE RODRIGUE • AMÉLIE ROMET • CAROLINE SABOURIN-BOUQUET • FLORENCE SCHOONHERE • MARTIN SINGER • FRANÇOISE VALLÉE-TUSET • GÉRALDINE VÉRINE • OXANA YAMBYKH
ALEKSANDR AVAGYAN
Né en 1990, à Erevan – Ex-RSS d’Arménie, Aleksandr Avagyan vit et travaille en région parisienne. Dès 2014, Aleksandr s’intéresse aux notions de zone, de lieu et de paysage synthétique. Influencé par son expérience des quartiers nord marseillais et privé de droit de retour dans son pays natal pour de longues années, ses paysages, de plus en plus impersonnels et neutres – tendent vers l’abstrait. Également intéressé par les cartes politiques du monde, l’artiste essaie d’incarner par sa peinture des zones de résistances. Les tâches de couleurs qu’il nomme « zones », parfois voisinent et cohabitent, mais aussi se heurtent et entrent en conflit entre elles. Grâce à l’introduction du volume, la peinture prend corps et se met en position pour soutenir un mur, caler une couverture ou marquer une frontière.
Haut les coeurs !, 2020 – Acrylique sur papier Arches ©Aleksandr Avagyan
AURORE BARON
Aurore travaille et vit à Paris en tant qu’artiste photographe indépendante depuis 2016. Elle a étudié la photographie à Hong Kong, vivant a l’etranger depuis son plus jeune âge. Passionnée par la photographie, Aurore aime réfléchir aux limites du médium photographique pour s’orienter vers un travail plus plastique. Elle joue sur des associations d’images et travaille la pluralité des médiums en explorant plusieurs matières à travers des collages. Son terrain de jeu c’est l’expérimentation, mais aussi la recherche de sujets de fond qui orienteront ses différentes séries d’images. L’esthétique est primordiale pour l’artiste, et c’est à travers les formes, les couleurs et les lignes qu’elle compose ses images minutieusement, en cherchant un parfait ou imparfait équilibre.
©Aurore Baron
GILLES BISCAY
Photographe français spécialisé dans les paysages et le voyage. Il travaille principalement en moyen et grand format. Gilles Biscay a déjà publié deux livres extrait de deux expositions qui ont été faites à Paris en 2014 et 2018 et a participé régulièrement à des expositions caritatives.
Brazo sur, 2019 – Lago Atgentino. Argentine ©Gilles Biscay
YAUME C
Né à Laval, Yaume C (Guillaume Chocu) est infographiste – metteur en page. Depuis 2013, il dessine en autodidacte, parallèlement à son métier. Dans un univers personnel singulier, le pastel gras est devenu son médium de prédilection. Les titres de ses dessins évoquent des épisodes de la vie quotidienne, dans la rue, en famille ou sur scène –
Ses grands Canson aux aplats vifs mettent en scène des silhouettes interchangeables que seul le vêtement, parfois, individualise. Un vocabulaire plastique minimal transforme ce qui aurait pu être un journal autobiographique imagé, en une suite de schémas des interactions humaines où la couleur joue à plein son rôle de signifiant. Percer les mystères qui régissent les codes sociaux du monde ordinaire des hommes, voilà sans doute son principal sujet.
En 2020, il devient Lauréat EgArt.
CircapharnaHome, 2020 – Pastel gras sur papier canson ©Yaume C
LAURE COSTEAU
Laure Costeau est une artiste française inspirée par la nature, une nature qui lui procure beaucoup d’émotions. Elle a beaucoup travaillé à l’huile, et depuis quelques années, est passée à l’encre de chine et au pastel sec. Cette série intitulée « le long des routes » est un travail au pigment sur papier.
« Je trouve l’inspiration lors de mes voyages en voiture ou en train, en voyant le paysage défiler à toute allure. Une image, de la vitesse, du flou, du mouvement, savoir s’arrêter, et cette envie forte de le reproduire avec mes outils créatifs ».
Isolé, 2019 – Pigment sur papier marouflé sur carton ©Laure Costeau
NATHALIE DECOSTER
Après avoir fait ses premiers pas aux ateliers des Arts Déco, Natahlie Decoster parfait sa technique auprès d’un sculpteur lui permettant d’avoir la maîtrise et la liberté de créer sans limite technique. Personnages qu’elle associe à des structures géométriques, ses sculptures délivrent des messages, parfois humoristiques. La pureté des lignes et la simplicité des éléments amènent l’artiste à travailler notamment le bronze, mais aussi l’aluminium, l’inox, le béton ou encore le verre ; et des matériaux de récupération qui trouvent dans son œuvre une nouvelle vie (ressorts de matelas, fer à béton,…). Le rouge primaire comme « symbole de vie » est introduit dans certaines de ses pièces. L’artiste nous délivre des messages universels sur la condition humaine, la relation de l’homme face au temps, les fragilités humaines, les valeurs essentielles que nos vies modernes tendent à nous faire oublier.
Esquisse sur papier canson. 2021
STERENN DEPRET
« Ce que la matière raconte du vivant… » Le travail de Sterenn Depret est sensible-narratif. Elle explore les émotions d’un territoire, d’un paysage dont l’apparente stabilité peut dissimuler de spectaculaires événements. Il s’agit d’une recherche constante, de l’affinité entre l’éphémère et l’indécis.
Petite vague III, 2019 – Eau forte – chine – collé ©Sterenn Depret
VERONIQUE DESJONQUERES
“La couleur, c’est l’enthousiasme dans la vie”. Cette phrase écrite par Van Gogh à son frère est une révélation pour Véronique Desjonquères et résume son travail artistique. Ses multiples voyages et ses 13 années de vie d’expatriée lui ont permis de développer cet attrait pour la couleur et cette recherche constante de l’harmonie colorée. La technique utilisée l’y aide : l’huile, appliquée au couteau ou/et au pinceau, associée parfois à des collages. « Ma peinture, ce sont des personnages, des lieux de vie et des objets transcendés par le jeu de la lumière, des couleurs, de la texture…. Toucher les gens, révéler la beauté de la création, la grandeur de l’homme, capturer la vie partout où elle est, c’est ce qui me motive ».
Kotor, 2021 – Huile sur toile ©Véronique Desjonquères
THIERRY DEVOUASSOUX
L’art lumineux de Thierry Devouassoux opte pour une vision esthétisante de la réalité. Ses toiles aux couleurs des jours heureux rayonnent l’optimisme. En art, le plaisir est le plus sûr des guides.
Guépard devant le bois d’amour, 2021 – Acrylique sur toile lin ©Thierry Devouassoux
MICHEL EINSENLOHR
L’itinéraire photographique de Michel Eisenlohr est le fruit d’une passion pour la littérature de voyage, un parcours universitaire sur les rites de l’Initiation et le goût de l’autre qu’il renouvelle à chaque destination. Photographe de la trace, de la lumière et du sensible, il s’attache aux paysages urbains, avec pour premier thème sa ville de jeunesse, Marseille et dresse le portrait de Gênes, Porto, Alep, Reykjavik ou encore Hong-Kong. Esprit des villes, architectures contemporaines, mémoire des lieux et territoires en mutations, le travail de Michel Eisenlohr assume une grande liberté artistique.
©Michel Eisenlohr
PHILIPPE GAUBERTI
« Originaire de la Côte Niçoise, Philippe Gauberti puise dans son enfance méditerranéenne, ses couleurs intenses et solaires, cette lumière insolente qui inondent ses œuvres. Il joue sur la dualité obscurité-lumière, enfermement-liberté, illusion-réalité. Sculpteur du métal, plasticien des matières réfléchissantes et des couleurs intenses, ses œuvres sont un « Jeu de réflexions » questionnant le spectateur sur sa complexité d’être humain ».
©Philippe Gauberti
GILDAS LE GURUN
Français, après une première carrière dans la Marine Marchande, il a repris, à temps plein, son autre passion: la photographie. A travers ses clichés, il capte un instant de vie, saisi un jeu de lumière ou retient pour toujours la beauté d’un paysage. Il expose régulièrement en Bretagne où il réside, il a obtenu de nombreux prix photographiques en France et à l’étranger.
Plage enfant, 2021 ©Gildas le Gurun
CHARLY HO
Auteur photographe autodidacte, l’artiste explore la photographie depuis 20 ans. Proposant une interprétation du portrait contemporain, faisant cohabiter des univers opposés, fusionnant certains codes de l’esthétique; Charly HO pose un regard nouveau sur l’art de demain. Il pose son regard sur l’autre au travers de son objectif. « La Photographie est la littérature de l’oeil », elle révèle en une fraction de seconde ce que nous laissons dans l’ombre et qui pourtant nous ressemble tant… ».
Ici, Charly HO propose sa vision de la photographie de rue, des scènes de vie qu’on oublie de prendre le temps de regarder.
The father, 2018 ©Charly Ho
GORDON HOPKINS
Né en 1965 aux États-Unis dans une famille d’artistes, Gordon Hopkins vit et travaille en Belgique. Son travail dégage une puissance à la fois par l’utilisation de couleurs vives, par son aisance évidente à architecturer ses compositions et par sa façon de prononcer le contour des objets de la vie quotidienne. Il développe une technique singulière qui consiste à superposer des couches de couleurs à l’huile sèche, ce qui apporte une vraie profondeur. Natures mortes, motifs répétés, paysages, poissons, plantes explosent de couleurs. Ses œuvres rayonnent de vivacité, d’allégresse et l’on ne peut y rester insensible.
Wild warm sea view, 2021 – Huile sèche ©Gordon Hopkins
HYUN JOUNG LEE
Formée aux Beaux-Arts de Séoul et en orfèvrerie à Paris, Lee hyun joung nourrit son goût pour la peinture et fait parler de ses souvenirs d’enfance.
L’artiste reprend le papier traditionnel Coréen, qu’elle remodèle pour retirer son coté lisse, puis souligne sa texture irrégulière d’encre de chine et de pigments coréens. A travers des chemins imaginaires tracés par les reliefs du Hanji (Papier traditionnel coréen), les oeuvres poétiques de Lee hyun joung nous invitent au voyage.
En quête d’équilibre et d’harmonie, le chemin avance, guidé par le glissement instinctif du pinceau, formant les lignes de la vie.
Tel une Coïncidence, le tracé des lignes laisse apparaître un chemin, constitué de surprises, d’aléatoire, de ruptures… Paysages d’Asie, forêts paradisiaques ou lignes aux allures organiques parfois inquiétantes… L’artiste nous emmène dans une véritable balade aérienne où chacun peut s’évader.
Elle se confie à Antoine Besson à l’occasion de l’exposition-vente « Les couleurs des monde – Renaissance », témoignage à retrouver ici.
KIKO
« Ma quête artistique est de créer l’émotion qui va réveiller l’enfant enfoui dans chacun de nous. »
KiKo est un artiste français, né en 1985, à coté de Marseille.
Son univers artistique est entièrement consacré aux émotions de l’enfance. Aux côtés de l’ourson, de Pinocchio ou de Charlie Chaplin, les “Mômes de KiKo” portent dans leur baluchon, les joies, les blessures et les secrets de l’enfance. KiKo travaille le dessin au fusain mais c’est sa maitrise des encres de Chine sur toile qui conforte un ADN artistique reconnaissable au premier coup d’œil.
KiKo est vendu en France et à l’étranger (liste des galeries sur www.kiko-art.com)
©KiKo
FRANCOISE LAUTIER
Françoise Lautier a exposé avec succès ses nombreuses toiles tournées essentiellement vers les couleurs de la spiritualité ou vers les patines de l’histoire. Le bouddhisme et ses clés l’enchantent, la nature et l’océan l’apaise.
L’artiste franco-espagnole utilise aussi les matières textiles, les épices ou des pigments bruts pour transformer les couleurs acryliques de ses tableaux émotionnels véritables hymnes à l’humain ou à une nature suggestive. Les forces de l’eau et du vent s’unissent au couteau et au pinceau pour restituer une peinture légère et profonde, positive et dynamique. L’empathie et la bienveillance se lisent jusqu’au creux intime de sa palette et de son énergie personnelle.
Le moine à l’ombrelle, 2016 – Acrylique et fragments d’or sur toile de coton ©Françoise Lautier
NICOLAS LEFEUVRE
Après une carrière prolifique dans la création artistique pour de grandes maisons de luxe et la création d’un label musical indépendant en Chine, Nicolas Lefeuvre se consacre aujourd’hui à son art. Son travail mêle l’encre de cobalt et la poudre d’or, jouant sur les tonalités pour faire jaillir des atmosphères d’aube, de crépuscules, des paysages rêvés et insaisissables.
Landscape P113. Pigments indigo, encre et poudre d’or sur papier en fibre de coton. 2022 ©Nicolas Lefeuvre
SIGRID M
Artiste-peintre professionnelle depuis vingt ans, Sigrid M travaille à Rueil-Malmaison dans un grand atelier lumineux. Elle participe à de nombreux marchés d’art contemporain, expose dans des galeries d’art, en France et à l’étranger, et dans des lieux éphémères. Animée d’une grande curiosité, elle capte les ambiances et l’air du temps: « Passionnée de couleur et de matière, je travaille mes toiles abstraites au couteau, j’invente et superpose des couleurs aux mélanges subtils à base d’acrylique, de pigments, avec des effets de transparence. »
©Sigrid M
ISABELLE NOËL
Isabelle Noël est une cueilleuse, gemmologue, céramiste et touche à tout. Elle aime la matière et les formes, les couleurs, les contrastes et la mer : « Certains volumes m’appellent et me donnent envie de les toucher, les caresser du bout des doigts, du plat de la main pour mieux les connaître, les accompagner et les façonner. Tourner autour pour apprivoiser rondeurs et pesanteur, embrasser la matière jusqu’à ce que faune, flore et motifs se dessinent et s’entremèlent – à l’encre de Chine, embellis parfois à la feuille d’Or ».
Galet BIG 5 – Rivière. Encre de chine et feuille d’or. ©Isabelle Noël
MAÏLYS PIERARD
Née à Toulouse en 1957, Maïlys Pierard est diplômée des Arts Appliqués Duperré à Paris. Après une carrière dans l’univers du textile, elle se tourne vers les Arts de la Table. Depuis 2010, l’artiste conjugue Arts appliqués et Peinture. Véritable passionnée, elle exprime à travers ses tableaux l’énergie, la force et le mouvement. Se dégage de ses oeuvres, une évidente modernité. La synergie entre les couleurs et les formes, telles des empreintes, reflète le dynamisme d’un univers qui peut être interprété comme marin : la mer, les vagues, le vent. Tout est à interprétation personnelle bien sûr.
La facilité de lecture de son travail apporte une sérénité qui séduit et invite au voyage.
Blue labyrtinthe. Acryliques et crayon de couleur. 2020 ©Maïlys Pierard
BRIGITTE RAILLARD
Façonnée par ses origines provençales, elle n’a eu de cesse de capter la lumière pour la couler sur ses tableaux. Que ce soit dans ses paysages ou dans ses personnages, on retrouve toujours cette luminosité si bien mise en valeur par ses ombres violettes et bleutées. Bonnard et Sorolla sont ses maîtres dans une peinture tournée vers le mouvement et simplifiée en aplats de couleur.
Récompensée par de nombreux prix, Brigitte Raillard est à l’origine de la création de l’Ecole de Peinture de Noisy le Roi – Bailly dans les Yvelines
Régates à Roscoff. Huile sur toile. 2021 ©Brigitte Raillard
ANTOINE RAMEAU
Inspiré par des sources aussi variées que la bande dessinée, le Pop Art, le Street Art ou le Recycled Art, Antoine Rameau s’intéresse très tôt au collage. Il expérimente alors différentes techniques, de la juxtaposition surréaliste de photos à la construction cubiste de vieux papiers et progressivement il développe son propre style : métissage d’images d’origines diverses, transformées en de nouveaux mondes oniriques. Chaque collage raconte une histoire complexe, fourmillant de symboles, références historiques ou mythologiques, avec parfois des messages satiriques, que chacun pourra interpréter librement.
COLORS OF LIFE III. Collage. 2022 ©Antoine Rameau
ESTELLE REVERCHON
Estelle Reverchon est née à Lyon en 1966. Elle fait son apprentissage de la sculpture dans les ateliers du Grand Paris. Son œuvre illustre un besoin de suivre l’inspiration du moment sans chercher à s’enfermer dans un style. Elle façonne une émotion et ajoute du mouvement au volume de ses sculptures. Elle expose à Paris et en région Rhône Alpes.
©Estelle Reverchon
PHIL DE RODRIGUE
Né en 1976 à Bordeaux, Phil de Rodrigue est un passionné de bandes dessinées, de musique et de cinéma. Ses centres d’intérêts lui permettent d’alimenter son art qu’il baptise « Vignette » en référence à son amour pour le 9ème Art qui est aussi son métier.
Pour cet artiste à part, l’illustration sous toutes ses formes est un moyen d’évasion et d’expression, d’idées profondes, tout en gardant ce côté pur des lignes claires de la BD.
Unis dans l’espoir, gouache sur papier. 2021 ©Phil de Rodrigue
AMELIE ROMET
Après des études de mathématique, Amélie Romet passe 10 ans à Paris dans les ateliers de l’antiquaire Bernard Steinitz pour pratiquer la restauration de meubles et marqueterie en suivant des cours du soir de la ville de Paris (dessins, modelage, histoire de l’art). Trois mois à Florence pour approcher la marqueterie de pierres dures. Après avoir suivi des formations spécialisées, notamment à l’INP, elle œuvre depuis 30 ans en tant qu’artisan, restaurateur de tableaux et bois dorés. En 2002, elle reprend la peinture et ouvre un second atelier de peinture et de modelage. Amélie Romet a été admise à la Fondation Taylor en 2016. Dans ce tableau, le bleu et le blanc sont utilisés ici pour représenter l’eau sous ses aspects liquide et neigeux sont traités dans un mode très inspiré des japonais, notamment Hokusaï.
Tempêtes de neige. Acrylique sur toile. 2017 ©Amélie Romet
OXANA YAMBYKH
Oxana Yambykh est une artiste peintre française et ukrainienne. D’abord membre d’Art’partage, puis de Figuration Critique en 2005, c’est son intégration au groupe Narro en 2007 qui donne une impulsion internationale à sa carrière et lui permet d’exposer régulièrement à Paris, au Grand Palais et en Europe. « Poésie, douceur, innocence, plénitude et rêves, c’est ce que dégage les oeuvres d’Oxana Yambykh qui peint avec son âme. Véritable attraction, il faut y entrer, les pénétrer et découvrir que chaque toile renferme d’autres tableaux ! Oxana nous entraîne dans des paysages féeriques, et irréels. Chaque toile est à elle seule une ‘Mostra’, tant il y a de détails à découvrir ». T.Jan
Les feuilles en couleur, huile sur toile. 2021 ©Oxona Yambykh
CYRILLE BELLIER
Des 7 ans, Cyrille Bellier se passionne pour la photographie. Il capturera des images dans les quatre coins du monde. Mais c’est à Hong-Kong qu’il se pose et se passionne pour cette ville envoutante, essayant de révéler la poésie derrière béton, métal, racines et bambous. Avec son ami et poète Sven Larsson, il créé « Cathédrales de Bambous – géopoétique d’une ville invisible », un hommage à Hong-Kong, à travers un voyage poétique et visuel.
Derrière la frénésie de la vie urbaine, derrière les gratte-ciels infinis et impersonnels, Cyrille Bellier fait ressortir l’harmonie créée par la nature et par l’Homme.
Yick Fat Building Crossed, Urban Variations Series, 2020 ©Cyrille Bellier
STEPHANE CHABOUREAU
Photographe autodidacte, Stéphane Chaboureau a vécu de nombreuses années à Hong Kong où il a construit une œuvre plurielle mêlant l’architecture, la photographie de rue et parfois le portrait. De retour en France, il continue ses pérégrinations photographiques, cherchant à figer le temps et l’espace par ses clichés.
Ses trois œuvres exposées, photographies du Jardin du Luxembourg au rythme des saison qui passent – automne, printemps, hiver – créent un cycle de renaissance : « Comme une impermanence parisienne qui se répète. ».
Il se confie à Antoine Besson à l’occasion de l’exposition-vente « Les couleurs des monde – Renaissance », témoignage à retrouver ici.
Jardin du Luxembourg, Hiver : première neige, 2021 ©Stéphane Chaboureau
SANDRA DICKSON
Initiée à la peinture traditionnelle chinoise par l’artiste Cecilia Ho et à la calligraphie par le maître Becky Wong, Sandra Dickson va vivre une renaissance lors de son expatriation à Hong-Kong où elle se passionne pour la calligraphie chinoise. Odeur de l’encre, toucher du papier de riz, douceur de la pierre, élégance des pinceaux, autant de trésors du lettré qui invitent l’occidentale qu’elle est à s’engager sur le long chemin de l’apprentissage de l’art de l’écriture.
Tant le sens poétique des poèmes chinois que la beauté des caractères attirent l’artiste. De retour en France, elle continue de pratiquer cet art ancestral, lien puissant qui existe désormais entre elle et la Chine.
Mei Man : la beauté partout, 2021 ©Sandra Dickson
VINCENT CHOVÉ
Curieux de tout, Vincent Chové est à la fois musicien, photographe, historien, poète… Amoureux de l’art et passionné par les rencontres avec les gens qu’il photographie au cours de ses voyages, il se considère comme un vagabond des temps modernes et s’identifie au personnage de Charly Chaplin qui bouge et découvre en permanence où qu’il aille. A 26 ans, il parcourt l’Inde en vagabond, inspiré par le grand poète Indien Ravindranath Tagore, pour qui « Le voyageur doit frapper à toutes les portes avant de parvenir à la sienne ». Il rapportera de son voyage des milliers de photos.
Perles et rêverie – allée des Marmousets, 2020 ©Vincent Chové
CAROLINE SABOURIN-BOUQUET
Après avoir étudié à la Sorbonne le droit et l’histoire, Caroline Bouquet a obtenu un master en sciences politiques et en droit public. Cependant, l’art a toujours occupé une grande place dans sa vie. Diplômée des Beaux-Arts en gravure et peinture, elle a également suivi diverses formations en calligraphie, peinture chinoise et dessin. Elle crée et expose depuis plus de 20 ans.
Pour emmener les gens en voyage, elle fait des collages et explore en gravure les paysages visités. Ces « Stèles » représentent le monde et le voyage en Asie, mais également le cheminement intérieur, vers notre Milieu.
Stèle du Milieu – Série ronde Earth and Wind, Monotype on paper, 2021 ©Caroline Bouquet
HELENE GIRAUD
Peintre amateure passionnée par les couleurs, Helene Giraud a vécu son enfance en Afrique et ses vacances dans le sud de la France. Elle aime s’inspirer de ses pays d’enfance très lumineux et aux couleurs solaires pour ces toiles.
En chemin, Peinture à l’huile sur lin, 2021 ©Helene Giraud
FABRICE HUITOREL
Fabrice Huitorel est un photographe-explorateur basé à la Réunion focalisé sur la photographie panoramique et aérienne. Il aime explorer ses destinations en profondeur, à la recherche des formes et lumières qui génèrent l’émotion ou la contemplation.
Iceberg dans la tempête, 2021 ©Fabrice Huitorel
BENEDICTE LESMANE
Bénédicte Lemasne est une artiste aux multiples talents. La peinture, comme la couture, le tricot, sont des activités manuelles dans lesquelles Bénédicte excelle.
Sa passion pour la peinture en tant qu’amateur est très forte ! Bénédicte prend des cours depuis 15 ans dans un joli atelier d’art.
Elle nous livre ces mots magnifiques : “J’ai eu à cœur de peindre cette famille pleine d’amour d’après l’œuvre de Janick Lederlé et je suis enchantée de contribuer par ma passion de l’art à l’exposition d’Enfants du Mékong et de permettre ainsi aux enfants de Birmanie d’accéder à la scolarité, l’éducation et à la santé.”
Sérénité, 2021 – Huile sur toile ©Béatrice Lesmane
ANGELIQUE LOMBARD-LATUNE
Depuis 13 ans, Angélique est établie comme artiste-peintre et expose dans des galeries, des salons, des associations caritatives, en France et à l’étranger. Son atelier se situe à Boulogne-Billancourt.
Son travail est avant tout pictural, évocation de la mer et des océans sous toutes ses formes. Angélique retranscrit le monde marin en utilisant les matières des plus légères et fluides aux plus denses. Encres, pigments, résines et poudres minérales se répondent dans un univers de matières et de transparences aux nuances infinies de bleus et de verts. Ses toiles sont des constructions en carrés ou en triptyques, aux frontières mystérieuses aux formes et couleurs exceptionnelles.
Angélique Lombard-Latune trouve son inspiration dans des vues aériennes et au bord des océans. C’est la nature profonde qui transparaît dans ses œuvres, sauvage et intime, mise à nue sur la toile. Elle s’attache à restituer l’émotion procurée par les couleurs et les formes. La magie des fonds sous-marins et des paysages de mer.
Magic Ocean 1, 2019/2020 – Techniques mixtes et résine ©Béatrice Lesmane
COCO DE MOLIENS
Très intéressée par l’art, et tout particulièrement la peinture du fait de son attrait pour la couleur. Coco s’est formée à l’école du Louvre où elle a appris l’histoire de l’art. Inspirée par les grands maîtres ou des artistes contemporains, elle réalise de nombreux tableaux : copie ou inspiration animalière ou de la nature.
Dans ce tableau, Coco s’est inspirée de sa région d’adoption : la Drôme provençale. Ce coucher de soleil, à la veille d’un fort coup de mistral lui a donné envie de coucher ses magnifiques couleurs du monde sur la toile. Par ailleurs, Coco a un fort besoin de donner d’elle-même et cet évènement est pour elle une belle occasion.
Veille de Mistral, 2022 – Huile sur toile ©Coco de Moliens
CHANTAL DE PERTHUIS
Chantal de Perthuis sait capter la lumière et restituer une atmosphère. Sa force est dans son dessin au trait juste et affirmé. Elle est une artiste exigeante et passionnée.
Très attachée à la Bretagne, elle y revient souvent pour nous donner sa vision de la transparence de l’eau et des reflets du soleil couchant.
Il est aisé de s’immerger dans ses œuvres et voyager dans le temps de nos propres souvenirs, ou rêver à des futurs apaisés et sereins.
Marias Salants, 2021 – Aquarelle ©Chantal de Perthuis
MICHEL EISENLOHR
L’itinéraire photographique de Michel Eisenlohr est le fruit d’une passion pour la littérature de voyage, d’un parcours universitaire sur les rites de l’Initiation, et de ce goût de l’autre qu’il renouvelle à chaque destination.
Il s’attache aux paysages urbains, avec pour premier thème sa ville de jeunesse, Marseille et dresse le portrait de Gênes, Porto, Alep, Reykjavik ou encore Hong-Kong. Esprit des villes, architectures contemporaines, mémoire des lieux et territoires en mutations : autant de sujets sur lesquels il aime porter son regard lors de reportages personnels ou en répondant à de nombreuses commandes d’institutions culturelles.
Avec ces multiples facettes, le travail de Michel Eisenlohr assume une grande liberté artistique. Photographe de la trace, de la lumière et du sensible, son travail est régulièrement présenté en France et à l’étranger, et fait l’objet de publications.
©Michel Eisenlohr
FLORENCE SCHOONHERE
A la fois artiste peintre et architecte ses deux passions se mêlent et influencent ses recherches picturales. Recherche en deux dimensions pour la peinture ou trois dimensions pour l’architecture, elles mettent toutes deux en œuvre la dynamique de l’espace. Passionnée par l’art de la calligraphie, sa rigueur et sa gestuelle et du sumi (peinture à l’encre) pour sa maîtrise de l’espace.
©Florence Schoonhere
MARTIN SINGER
Martin Singer enseigne à l’Ecole d’Art de Calais. Après plusieurs expériences créatives dans le cinéma d’animation et la bande dessinée (7 albums publiés à ce jour), il se consacre à son travail de peinture géométrique en s’attachant à la problématique féconde du cadre et de son débordement.
Voici ce qu’il en dit :
« Dans ma pratique picturale, je questionne l’idée du hors-champ en créant une forme habituellement coupée par les bords du format cadre ou toile, que je prolonge ensuite auau-delà. Cette forme, peinte en deux dimensions sur la toile se matérialise en trois dimensions quand elle en sort, donnant ainsi lieu à une fructueuse dynamique entre « plein cadre » et « hors-cadre ». Mon travail oscille entre ces deux états, explorant les nombreuses possibilités d’agencements plastiques tout en privilégiant les formes géométriques simples et les compositions épurées »
©Martin Singer
FRANCOISE VALEE-TUSET
Françoise Vallée-Tuset a étudié auprès du maître Marino Barberio. L’artiste est très douée dans la création d’œuvres contemporaines novatrices. Elle utilise des supports inédits et esthétiques. Elle expose régulièrement dans des galeries en France et à l’étranger.
Françoise excelle dans ses domaines de prédilection : la couleur, la matière et la transparence. Elle explore des champs divers tels que la peinture sur plexiglass ou à base de résine.
Joie, 2022 – Acrylique sur toile ©Françoise Vallée-Tuset
GERALDINE VERINE
Géraldine Vérine partage sa vie entre la capitale et Carnac où est établi son atelier. Ayant vécu en France et à l’étranger, Géraldine se nourrit de ses expériences et des lieux qui l’ont ému pour peindre exclusivement à l’huile des paysages figuratifs, souvent représentés dans leur beauté brute, sans personnages.
Géraldine aime peindre les grands espaces et la nature avec beaucoup de matière et d’énergie en utilisant de grosses brosses et des couteaux. Sa spontanéité et sa sensibilité révèlent un jeu subtil entre les ombres et la lumière. Son ambition est de capturer la beauté du monde et de créer une émotion, une envie d’évasion.
Ligne de crête, 2021 – Huile sur toile ©Géraldine Vérine